La part de tendresse Mille et un trains qui passent pour mille qu’on ne prend pas. Je pense souvent à celui où y a la douce part. La douce part de nous. D’où ce cœur qu’on y met et d’où ce temps. Ce temps qui nous est tout. Deux soeurs, de grandes amies à moi PartageE-mailTwitterFacebookPinterest Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Répondre à La part de tendresse Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Google. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles.
Répondre à La part de tendresse