C’est vrai que la beauté qui me parle le plus fort
est souvent dénuée d’une trop grande volonté.
Devenue ce qu’elle est sans trop forcer les choses.
Par la force des choses.
Le geste offert à l’éphémère. L’arbre qui tend vers la lumière.
Et des ouvrages en amalgame, nés de la nécessité et transformés par le temps.
Et quand la pluie s’en mêle un peu, ouf. Et re-ouf.
Allez cliquez, faites-moi plaisir. Regardez-y d’un peu plus près…
Répondre à Après la pluie, la plus grande beauté