Ça y est. D’un coup.
Soixante minutes de moins.
Faut se lever tôt le matin pour compenser la perte.
C’est le moment de l’année, j’avoue,
où mon espoir ressemble au solstice d’hiver.
À ce temps où la lumière remontera doucement.
J’y pense comme au retour de quelqu’un que j’aime.
Je m’y ferai à cette noirceur – comme on se fait à l’absence.
Mais il est cinq heures au moment où j’écris ces lignes.
Et il fait presque noir.
Bonne plongée tout le monde.
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