Ça y est.
L’hiver.
Il y aura du ciel.
Et je m’habituerai.
Je l’aimerai même.
Quand je me serai souvenue
du bon du vent
du bon du vent qui me fouette
et me rappelle
le bon du sang dans mes veines.
Et puis y aura toujours les autobus.
Bref, bonjour l’hiver.
Mais t’aurais pu me le dire, hier
j’aurais mis un foulard de plus.
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