me rafraîchir aux arbres
et aux heures qui passent
tinquer la poésie
jusque dans les ruelles
me GRISER de la nuit
qui monte sur un ciel
MAUVE
et puis
cette autre soif
que je m’explique mal
qui salope les FLEUVES
les terres et les forêts
celle-là qui ne s’étanche
qu’à l’ABRI des scrupules
où l’on ne souffle mot
de la beauté
PERDUE
pétrodilapidée
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