la tête sur l’oreiller
et ce soleil qui monte sur le mur d’en face
on y est vraiment
que pour si peu de choses
et moi qui rêve de mots
qui vaguent
et qui valsent
sur les remous du coeur
et de perles qui glissent
le long du fil de l’eau
et qu’on soit toujours là
où dansent nos silences
un regard à la fois
jusqu’à la fin des temps
COMME SON ÂME QUI DANSE – Montréal, juin 2015
Si j'étais un arbre 
Belle danse de mots Caroline ! Merci 🙂
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Oh merci Sylvie !
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« où dansent nos silences » unforgettable, inolvidable. Thanks Caroline, the whole poem and the photograph are quite beautiful.
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Gracias, querido Francis.
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Fluide comme une mélodie… très joli !
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merci… et une belle journée à toi là-bas…
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Une parfaite concordance émouvante entre l’image et le texte… Superbe!
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Mille mercis, Louise.
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