un matin blême
mais un matin
et le monde continue à faire
comme si les oiseaux et le vent
avaient peu d’importance
un grand président a fait ses adieux
et sa peine était grande
je pars marcher
j’irai voir Gaby en passant
je serai ici quand tu reviendras

UN VENT D’AUTOROUTE – Sur la 20, vers Québec – Janvier 2017
C’est vrai, Gaby et la course du soleil comptent au monde. Une toute douce journée à vous, Caroline.
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Je prends conscience que même la tourmente peut contenir des traces de beauté.
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mais « un matin blême » a toujours sa part de bleu, ce bleu qui nous fait sourire..qu’il t’aie portée vers une douce soirée…sourire, justement, sourire bleuté…
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Le bonheur (et le privilège) de savoir l’importance des oiseaux et du vent.
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Je comprends ta peine, elle est aussi la mienne. Aujourd’hui à Bruxelles nous soutenions la marche des femmes à Washington, lights4rights. Et puis je suis rentrée à vélo sous un ciel noir et clair avec le vent et l’insouciance ;o)
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