J’ai ouvert la fenêtre.
Senti l’air.
Entendu les oiseaux.
L’hiver a sa robe, ses habits, son unique prestance.
Mais il paralyse ma mémoire, comme une main glacée.
Et ce matin, il soulève un peu les doigts.
La mémoire me revient.
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Photo : LES NUANCES DE L’ESPOIR – Sur le Plateau * 19 février 2018
The eternal return. Thank you from my heart for reminding me.
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A Bruxelles il a mis son gant de glace ! Jusqu’au coude !
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ouf!………même s’il gèle, le ciel est lumineux de jour comme de nuit……et les jours….ah les jours s’aloooooongent, s’étirent! que c’est bon, caroline!
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Ma maman entend mal. C’est un matin très froid et très ensoleillé. J’entends les passereaux qui font leur conversation du matin en piaillant à qui mieux-mieux dans le grand arbre. Je demande à ma mère si elle entend les oiseaux. « Non ». Prochaine fois, je les enregistre. Merci, Caroline !
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Des mots qui résonnent en moi, justes, pudiques et avec cette simplicité qui me parle tant.
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les mésanges de ma cour,
vite, s’empiffrent de cacahouètes..
..même elles n’y croient pas,
à cet hivers qui débarque, là,
au milieu d’un printemps précoce..
et tes mots, qui viennent sourire à mon coeur..
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