On avait pourtant sorti tous les petits boyaux célestes. Mais les gouttes, trop éparses, ne changeaient rien à rien. La terre restait sèche et l’air aussi chargé.
Puis la pluie, torrentielle, a ciselé le sol et atteint le caïeu durci. Et tout ça, comme tous les cris d’amour, sans aucun tort en ciel.
Photo : ARRÊT D’AUTOBUS, FILLE ENCEINTE, MAIN SUR SON VENTRE – Tout à l’heure, rue D’Iberville, Montréal
Tes mots mouillent l’âme aussi sûrement qu’une pluie torrentielle.
Merci de faire couler en nous ta belle poésie.
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Oh toi toujours tes mots ruissellement et désaltèrent même les soifs de la nuit.
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Ce matin, ça cailleut, c’est bien vrai ! Je vois que le vigneron porte le sourire haut. Merci, Caroline.
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Really fine shot!
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Profoundly beautiful. As always.
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❤️ (fait bref ce jour. )
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merci, douce caroline,
merci des calembours
et de la tendresse,
de toucher par tes mots
le ventre de la vie…
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la terre amoureuse de l’eau du ciel, c’est tout beau, ma Douce !
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