piano tendre et nuit noire
nouvelle lune
et les notes qui déferlent sans souci du tempo
perchée haut dans les aulnes, l’épervière se repose
l’été a presque fait son temps
je m’arrêterais ici, tu sais
dans l’éclatée dansante
quelque part entre la froideur de l’air
et la chaleur du sang
ici parce que ça tourne
au vent de l’onde claire
et cette corde, encore, qui tient la note comme l’aigle
liant nos envolées, nos échappées rebelles
j’embarque, tiens-moi, on montera ensemble
le jour connaît la route
et l’aube n’attend après personne
∼
Photo : MATIN DE SEPTEMBRE, 8:22 – Lac Kénogami
Piano piano, rien ne presse. Bises, Caroline.
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8:22…..ce sont des chiffres qui me parlent tout comme la lune….ah tes mots, caroline…..quel régal!
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Belle sonate en mots.
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ô, tu le sais
combien ces mots me touchent..
tu le sais,
comme j’aime l’éclat de cette photo,
et la brume de lumière qui l’entoure..
merci, donc caroline..
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Exaltant matin de septembre …
Pour cette musique qui emporte le coeur, merci Caroline
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Nos échappées re-belles, qu’elles le soient toujours !
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