il faut pour ça bien sûr
que l’érable devant
soit vidé de ses feuilles
je parle du moment du jour
où le soleil
soudain à hauteur de mes yeux
ne me laisse plus voir mon écran
et où je deviens déchirée
entre l’éblouissement
et le rideau fermé
Photo : UNE FENÊTRE SUR DEHORS * Novembre 2018, Montréal
C’est beau de savoir reconnaître ces moments.
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Ébloui … je le suis ! Merci, Caroline.
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lumière tranchante,
qui enchante
l’hiver approchant
et nous fait oublier
ce doré qu’on aimait tant…
douce journée,
tendre toi
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