ne me dites pas que tout est fini
alors que tout commence toujours
mes pas de chaque moment sur l’asphalte
mon regard sur les autres
jamais tout à fait le même
comme le ciel
et l’air, l’air plus dense ces jours-ci
mais c’est comme ça que je l’aime
Photo : OÙ L’OMBRE DU CLOCHER DONNE L’IMPRESSION QU’IL EST CROCHE – Fin juillet, Montréal 2019
rien n’est fini, l’air le dit
tourelou Caroline !
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Votre poésie m’est devenue nécessaire, comme le sont certains livres aimés, qui lorsqu’on les ouvre, c’est comme ouvrir la porte de chez soi.
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Mais c’est tout un exercice de pleine conscience pour le réaliser.
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J’aime beaucoup.
Soit dit en passant, je suis allée écouter tes chansons sur Bandcamp, et j’ai apprécié autant que j’apprécie ta poésie.
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Le fini est encore plus difficile à appréhender que l’infini. Va tout de suite et demain et après demain, de dense en dance.
Bise et doux et heureux après-midi à toi, Caroline.
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tes mots en inspirent d’autres et d’Autres et tout continue, se pour-suit à l’infini………..moi j’adore l’ombre de cette délicieuse cycliste d’été……un grand merci pour tout ceci et cela, douce caroline
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l’ombre m’a happée aussi,
tout de suite,
comme se glissant déjà sous la barrière
qui ne pourra l’arrêter..sourire
l’ombre, belle errance..
des biz’douces à toutes deux,
et tendre réveil, belle caroline
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l’inconnu à chaque seconde, aux mille teintes, s’offre. Sortir de l’attente du connu qui rassure. Merci Caroline pour tes mots
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