Et le tableau te vient en rêve. Comme dans une grotte en falaise où se jetterait la houle pour en aspirer le limon.
Si joliment fatal le monde pour le coeur et la peau. Partout le même vertige, nos chairs tendues vers les reflets d’autres cascades d’âme. Chacune surgie de l’aube pour en dévorer les entrailles et toutes les voies béantes ferrées d’autant d’étoiles.
Depuis le port des jours, nos désirs qui se mêlent. Autant de radeaux en partance sculptés au bois de nos états. De quoi y monter et descendre des milliers de rivières. Dans le parfum des vents d’envers et le terreux des berges tendres.
Photo – LAU D’ARGILE * 18 juin 2020 – Montréal
Noyau de pudeur déboutonnée…
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Je suis là, ébaubi. Je relis comme je le fais toujours mon dernier texte et la cloche de mon Mac m’annonce le tien qui pourrait se coller au pied du mien. Ébaubi, je te dis.
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Une sorte d’invitation au voyage, pour moi.
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Tes mots, cette photo,
Ton âme,
Reflets de ces berges d’étoiles..
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Et moi je dis » Voguons, moussaillons que nous sommes et resterons »
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