écrire sans savoir
ni trop ce que j’arrache
ni trop ce que je sème
seulement que j’y absous
l’engrangé
dans mon corps et mon ventre
le mis là par le temps
et les saisons de vivre
·
Photo – L’HOMME ET LE CHIEN – Novembre 2020 – Montréal
écrire sans savoir
ni trop ce que j’arrache
ni trop ce que je sème
seulement que j’y absous
l’engrangé
dans mon corps et mon ventre
le mis là par le temps
et les saisons de vivre
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Photo – L’HOMME ET LE CHIEN – Novembre 2020 – Montréal
les greniers de l’enfance…
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Parce qu’il faut bien que le temps se dépose.
Bise et douceur, Caroline.
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Pas ce qui ménopause
juste ce qui prend le temps du soleil en présence…
N-L
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Et moi, j’engrange ces mots, tellement beaux.
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Des fois c’est comme ça. On s’arrache des lambeaux de coeur et on les lance à la mer dans une bouteille de trop.
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Sombre chien qui voudrait se perdre au loin, sur un tapis de neige en un point noir .
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à ces mots, déjà, je m’allège…
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L’engrangé
des conserves de pensées
dans le buffet du corps
et l’oeil gourmand d’un enfant
en apprentissage
Tout beau cet engrangé Caroline
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écrire pour demeurer introuvable… Merci
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