de la tâche impossible
d’y être comme le vent dans
les feuilles
du désir infini
de t’aimer comme la rivière
le seuil
du grand cassé de nous
à ne pas réparer
pas plus que la rosée
et de mes doutes
infiniment grands
qui n’ont de fin de moi
l’amour est un mystère
et j’y reste à errer
·
Photo : RACINES * Hier – Montréal
À l’impossible nul n’est tenu, dit-on. De l’indicible pas plus.
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De part et d’autre du sommet les pentes sont, sans le vouloir, très heureusement.
Bise et douceur, Caroline.
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