
où j’ai tu que dans la
nuit j’avais gratté près
des fissures
dans les
fendillements
tu pour
y rester légère
plus légère que mon corps
et mon âme béante
et tendre un miroir
immobile
·
Photo : ERRER À TRAVERS LE SONGE – Août 2021 * Montréal
où j’ai tu que dans la
nuit j’avais gratté près
des fissures
dans les
fendillements
tu pour
y rester légère
plus légère que mon corps
et mon âme béante
et tendre un miroir
immobile
·
Photo : ERRER À TRAVERS LE SONGE – Août 2021 * Montréal
On s’y voit presque
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tu
qui trouveras
le jour plus lourd que
le mot d’avant
(merci)
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Que dans la légèreté d’une vague,
S’enfuie le venin
D’un jour,
Pour oser encore et encore
Le chemin de l’errance,
Ce chemin si beau
De l’osé,
Ce chemin parfois
Aride,
Bordé de ronces et de roses,
D’orties et de marguerites
Et de tant de ces si touchantes,
Appelées « mauvaises herbes »..
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Un moment en votre compagnie, et toujours je voyage. Je sens les odeurs, entends les bruissements des arbres, des pas, des voix derrière des fenêtres. J’entends une ville entière serrée dans un jardin, le vôtre, peut-être, je ne sais pas. Vos mots sont machine à voyager, non pas dans le temps, mais dans les âmes, les saisons, les maisons. Votre observation du monde est d’une grande justesse, et vous tirez beauté de tout, même le gris.
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