Je n’ai pas oublié
vos grands cercles d’adieu.
Ni d’avoir touché la splendeur
plus fort que tout le reste.
D’y voir l’eau troublée par le vent
aurait pu me suffire à pénétrer le monde.
Et là, cet étrange parfum qui sent
l’amour qui ne sait pas. Le souffle d’un revers.
Quand même je reste désarmée.
Que ne m’emportent pas les danses ridicules.
Quitte à être avalée par le jour et l’errance.
L’oiseau voit mieux que moi
tout le vent à se prendre.

PHOTO : LUMIÈRE CENDRÉE * Avril 2022
Écouter le vent, c’est comme ouvrir ma conscience.
Bise et douceur, Caroline.
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à peine un frisson d’air
que l’oiseau nous siffle
à fleur de nuages
(merci)
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