L’usure des murs Le temps passe, et je me cache toujours. Me laisserai-je jamais être vraiment vue? Forte, mais si faible aussi. Libre, mais dans tant de prisons. Ma vie. Ma belle fortune. Où mes forteresses sont mes cachots. Et mes cachots, mes forteresses. Hier, quelque part à Montréal… PartageE-mailTwitterFacebookPinterest Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Répondre à L’usure des murs Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Google. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles.
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