Vous les voyez mal, mais les deux ont le sourire. Un vrai sourire.
Ils n’avaient l’air ni souls, ni rien. Juste heureux, à ce moment-là.
À regarder la vie, et un immense troupeau de touristes.
Et je réfléchis un peu sur ce confort qui est le mien.
Sur le vrai berceau de l’aisance.
Ce que l’on possède. Le regard que l’on pose.
Y a matière à jongler.
Mais on n’y pense pas trop,
grisés par les parfums d’une économie boulimique.
La caresse et l’aisance – Rue St-Paul, Vieux Montréal, Septembre 2013
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