Je relance quelques lignes, comme on ferait d’un refrain.
Parce que mon coeur y est. Et que l’amour est sentinelle.
ce n’est qu’en reprenant cadence qu’elle eut vent des mots de sa mère
et puis de ceux de sa grand-mère et des amies de cette dernière
autant d’échos d’entre les arbres qui lui disaient d’être aux aguets
dans ces sentiers creusés par elles à grands coups de rêve et d’espoir
ces sentiers devenus pour elle autant de lieux de liberté
Répondre à L’acquis et l’oubli