je vois mieux qui je suis
la couleur de mon souffle dans le monde
le beau – sans doute – mais aussi l’ordinaire
pourquoi pas
tant que la vie continue
les jours de blancheur sur la ville et la montagne
moi qui marche en revenant d’aller voir Gaby
lui qui s’adapte parce qu’il le faut bien
quoi qu’on en fasse
il passera le temps
Répondre à Ce qu’il faut pour vivre