comme un grand cercle dans l’instant
un endroit où me vivre
sans rien perdre de l’écho des heures
vain de vouloir m’accrocher
et vain de les vouloir parfaits
aussi bien les faire fuir
les mots les gens les jours
j’ai moins l’cœur à changer que je l’ai à me vivre
le temps m’étant précieux comme l’eau des rivières
qu’il te reste précieux…sourire…l’eau, c’est si apaisant….
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si apaisant, oui… si bon pour l’âme… merci, Irène…
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Et si vous nous le chantiez ce texte ? Sur un air de balade, à mi voix ? Je suis certain qu’il prendrait tout son relief, comme une brume de chaleur. L’image est très graphique et pure!
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j’y penserai… d’autant plus que les deux dernières lignes, vous avez dû le sentir, étaient l’élan d’une chanson que j’ai mise de côté pour l’instant… merci, Francis.
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Je garde un bon souvenir de celle que j’ai entendu il y a déjà un moment…
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C’est si vrai et si toujours si joliment dit. « j’ai le coeur à me vivre », fera partie des quelques petites phrases précieuses que je garde en moi, auprès du « je me voyage », de Julia Kristeva.
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oui, n’est-ce pas qu’il est bon de se voyager et se vivre… merci ‘vy…
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Tiens, tes mots font étrangement écho à mon weekend… Mais quel bel écho…
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j’en suis heureuse…
une belle semaine à toi, green norden… ;-
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