il a plu cette nuit
de longs longs filets
qui tombaient en musique
entre les grondements de l’orage
ainsi par deux éveils
au coeur de la noirceur
j’ai pu tendre l’oreille
comme aux vagues de la mer
et au grand coulant des rivières
et là, ce matin
un filet de soleil frappe la maison d’en face
et dessine de l’espoir sur le trottoir mouillé
le ciel se dégage on dirait
j’ai moins l’cœur à vouloir que je l’ai à donner
le temps m’ayant fait voir que j’ai raison d’aimer
C’est beau, c’est vrai, c’est dans le vivant….
Merci pour cette contemplation du simple et merveilleux présent…..
Encore une fois, je respire et sourit….
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Merci, mon amie…
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Love the huge truck ‘contre la femme’..
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Thanks Harrie… it certainly is a contrast…
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De la douceur aussi..c’est beau Caroline..sourire
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merci Irène… et un doux matin à toi…
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Je trouve ce texte très inspiré. Merci Caroline 🙂
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oh! merci beaucoup Sylvie…
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Même impression ici : il a plu la nuit et le matin s’est réveillé doux, vert, accueillant ! Merci pour le partage de votre expression, Caroline !
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J’y trouve beaucoup… alors merci d’accueillir ce partage, Gilles.
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Gouttes de l’orage, petit sentiments devinir un lac; et sous le soleil il pourrait être un lac de l’amour inaperçue parce que la nuit il était sombre…
I don’t see a wheel but I circle framing like a tunnel the road of a lady. Merci Caroline, trés beau mots et image.
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Merci, Francis.
Your words made me smile and warmed my heart. Your French will find its way… you certainly know how to pick beautiful words…
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Pluie sur Paris aussi, et rayon de soleil après (juste un un, sans pluriel…), vos mots trouvent donc leurs échos jusques ici…
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Paris, oh Paris. J’y prendrais bien quelques pluies… de jour ou de nuit… une belle fin de journée à vous, Francis.
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Et moi au Quebec ! Échangeons nos domiciles un de ces jours !
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mmm … je souris… et je retiens, Francis…
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belle photo
j’aime ces conclusions à tes textes: j’ai moins l’cœur à vouloir que je l’ai à donner
le temps m’ayant fait voir que j’ai raison d’aimer, comme une morale tendre et bienfaisante ;o)
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merci… je suis touchée que tu aimes, Anick…
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