Être aussi bien relevait forcément de la chance. Elle savait les coups durs. Avait fui plus qu’à son tour sous les grands soleils de l’errance. Là, sous le ciel dégagé, zéro désir de changer les choses. Seulement celui de vivre. Fort. Et rien qui ne l’en empêchait. Marcher. Aimer. Se laisser trouver des chemins et se laisser en perdre. À bras et coeur ouverts tant qu’elle le pouvait. La vie ferait le reste en soufflant ses vents de désordre. Oui là, dans l’instant, aimer et marcher. Dans les arbres ou la ville. Le plus souvent possible. Et le plus doucement du monde.
J’aime ses mots, j’aime cette errance et les vents de désordres..et la vie doucement heureuse..qu’elle te le soit, encore et encore..ce soir en tout cas, sourire
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Quelle jolie fin tout en sensualité. D’un texte débordant d’énergie et « Et le plus doucement du monde », c’est tout doux à lire, à s’entendre le lire. Et le corps le ressent et s’en réjouit.
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oui irrésistible…..mmmmmmmm……merci caroline pour cette douce fin de journée
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Etre aussi bien relevait forcément… de votre plume.
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Que les vents de désordre viennent de ce côté de la grande eau ;o)
texte comme une caresse…
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douceur du plaisir à être; merci Caroline
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J’aime ce texte plein de douceur dont les mots me parlent tellement et comme toujours j’aime cette photo, cet instant fugitif =)
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