le temps est mon histoire, dit-elle
je glisse sur la mienne au gré des rivières blanches
les flots sont forts et les fonds sombres
les courants noirs et clairs
savants de leur écume et leurs bouillons d’enfer
j’ai pas peur de grand-chose
du moins dans mon histoire
la vie se donne le temps
et le temps qu’elle me donne

18h30, RUE ONTARIO – 21 novembre 2016
mais pourquoi suis-je aussi bavard ?… c’est pourtant pas faute de lire, comme ici, des textes qui disent tout en peu de mots tous simples.
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dans le temps que la vie me donne j’espère pouvoir accepter le temps neigeux de ta photo….. grâce à tes mots, caroline
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le temps se donne-t-il?
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« et le temps qu’elle me donne.. »oui, simplement celui-là, doucement, comme la neige qui se pose si doucement…j’aime tellement voir tomber la neige, ou plutôt la voir virevolter…le temps qu’elle se donne simplement pour « tomber »…sourire…
merci, belle caroline..
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La premiere ligne dit tout
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j’aime…
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j’aime cette idée de glisser sur son histoire… suivre son courant…
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Le flux, sa musique, son mouvement. Et le rythme qu’il faut épouser vaille que vaille …
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La photo me rend un peu nostalgique de Chicago…
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Wow ! Tout beau !
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