sous le ciel orangé et un peu rose aussi
tout va doucement
devant le feu du jour
un signe sur ton visage
et puis l’ombre
cette ombre qui se forme
la blessure, la trace partagée
naître
et en être
sans jamais trop savoir
ou pourquoi ou comment
y poser l’âme pourtant, et le coeur
et continuer d’y croire
toujours au moins assez
et là, sur ton visage
ton regard vers l’infini
… searching for home through the infinite…
comme le chant qui se mêle au vent
et qui tend, bienheureux, à s’éteindre

AU SEIN DU MONDE – Hier, dans l’arrondissement Ville-Marie
C’est bon de savoir ne pas savoir !
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Très très touchant pour moi…profond et véridique: « naître
et en être sans jamais trop savoir ». Merci mon amie!
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que c’est beau, douce caroline,
comme une réponse à « l’ami dans la glace »
comme une caresse à la vie..
doucement, tendrement, merci…
et beau réveil à toi..
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This goes straight into my heart, and touches the infinite. Thank you.
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J’ai bien du mal à le toucher cet infini aujourd’hui alors merci pour ces mots chère amie ;o)
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Le poème comme une « trace partagée » …
Merci, Caroline, pour ce « chant qui se mêle au vent » et ce souffle qui porte le texte entre urgence et délicatesse
Je lis, je relis sans me lasser …
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Belle douceur vers la vie d’aujourd’hui.
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