New York, environ 1888.
Où l’humain va, l’âme suit, dans la folie comme dans le reste. Elle n’a qu’un seul jardin pour y fleurir le monde et elle y fait à sa mesure. Et quiconque se fait juge se condamne lui-même.
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Photo : INCONNUE / LA QUÊTE – Tirée de la même collection de photos trouvées dans le grenier d’une vieille maison de la Caroline du Nord. Celle-ci a été prise à New York, entre 1883 et 1892, par Charles S. Rawson, Artist.
J’aime le grain de la photo, le regard rêveur saisi par accident, on dirait, bien différent des poses d’aujourd’hui (mais c’est l’époque, on apprendra quelque chose de cela un jour).
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« Où l’humain va, l’âme suit. Elle n’a qu’un seul jardin pour y fleurir le monde » …tellement ça!
Et le mien, de jardin, il est tout petit mais tous les jours j’y arrose les fleurs qui y habitent.
Tout comme le dit la chanson: 🎶 « j’en prendrai bien soin… ».
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et ce regard, étonnant, chaque yeux si différent, comme si l’un était avec nous et l’autre l’âme justement….merci douce caroline
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Dieu quel regard ! Il me fait penser à rainer Maria Rilke
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