de ta chambre sans les mots
toi qui regardes le monde
depuis le seuil encore
sûr je comprends la distance
et d’ici un peu je vais tendre
le coeur à ton silence
∼
Photo : UNE DEUXIÈME SAISON DE FEU – Fin octobre 2017 * Montréal
de ta chambre sans les mots
toi qui regardes le monde
depuis le seuil encore
sûr je comprends la distance
et d’ici un peu je vais tendre
le coeur à ton silence
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Photo : UNE DEUXIÈME SAISON DE FEU – Fin octobre 2017 * Montréal
de ta chambre sans les mots sûr je comprends la distance… je ne dis pas toujours le plaisir que j’ai toujours à lire les poèmes de l’arbre (si j’étais); disons que là, voilà, c’est dit.
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oh que j’aime cette photo, caroline! …… quant aux mots ……. je t’embrasse fort!
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Hôte de l’existence, hôte de la Terre … je le suis. Puisse-je y ajouter suffisamment d’amour pour respecter mon hôtesse. Bises, Caroline.
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que c’est tendre et beau,
que c’est fort et doux,
la photo, les mots..et tout ce qu’il y’a derrière..
je te serre doucement contre mon coeur…
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C’est fort et en même temps léger comme une vapeur, comme la photo
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