Le paradoxe de la fêlure

Il y a le Bangladesh. 

Et puis il y a ce fond de nuit et d’ombre sur tes ailes,
cette fêlure qui étrangement te rend encore plus belle. 

La grandeur du mystère n’a d’égale à mes yeux
que celle du paradoxe.


Photo : 17 h 51 – Viaduc Papineau * 23 Novembre 2017 

5 réponses à Le paradoxe de la fêlure

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