Hier soir, la neige. La première vraie.
Celle qui vient tout éblouir.
Les coeurs et les pieds dans la boue.
Et ce matin, les branches blanches.
Le vent qui les secoue.
Et glissent en boules les flocons agglutinés.
Dans la lumière royale.
Photo – SUR DEUX MONDES * Hier, 17h44 – Montréal
Si j'étais un arbre 
tu me connais, je ne suis pas pressée de voir la neige chez moi mais quand elle arrivera je saurai l’accueillir avec bienveillance car il est inutile d’en rajouter quand ce n’est pas ce qu’on préfère 🙂
et c’est pourquoi j’aime tes mots qui disent sa splendeur en dépit des rudesses qu’elle peut générer
je t’embrasse!
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Et puis sous la neige, le monde parle plus doux.
Bise, Caroline.
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Que je te l’envie,
Ce doux manteau blanc,
Le craquements des pas,
Leurs traces..
Peut-être vers un nouveau demain-d’errance ?
Tendresse, douce toi
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Love the face with the alter ego..
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La neige est un manteau oublié par l’hiver.
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Veinarde la neige me manque tous les hivers ;o(
Tout bel hommage de toi à elle
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d’ici où là-bas, la première neige sur Montréal fait toujours rêver …
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