une sensation de vain parfois
comme d’un monde sans musique
mais je sais bien le lent
et le chemin à faire les choses
le temps de tout
le vent, la vie
et l’alchimique
l’impatience balise
et s’en prend à mes heures
malgré mon ventre ouvert
le sincère d’attendre
ce qu’il faut de beauté
pour mes yeux endormis
amoureuse je reste
des grands refrains du corps
et de l’errance tendre
où vague là, l’amour
et ce qu’il nous reste
à entendre
Photo – FILLE SUR UN PALIER * Septembre 2020 – Montréal
J’entends le son malaisant de ce monde sans musique comme un mardi bête à pleurer en silence mes jours de liberté perdus. J’ai le retour gris mais tes mots me disent bonjour.
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Beau à m’en faire monter les larmes aux yeux…
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Souvent je trouve dans vos poèmes une mélancolie belle et profonde. Peut-être est-ce une erreur d’appréciation de ma part mais svp ne changez rien… Merci
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Fine shot!
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Beau
comme un camion rouge dans la campagne
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Un moment de retraite pour juste vivre.
Bise et douceur et sourire, Caroline.
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