J’ai lu ce matin la belle lettre à la mer qu’a écrite Mylène Paquette
après son long périple sur la grande eau.
J’ai ressenti une pointe d’envie à l’idée d’une telle traversée.
À l’idée de poser mon regard sur la vie et l’infini, loin de tout pendant autant de jours.
Ma vie est faite d’estuaires. Et d’autant de détroits.
De jours où l’espace se referme. Et d’autres où il s’ouvre grand.
Alors, vogues-y mon âme. Puisque tu le peux.
Répondre à Et tandis que ça sent l’hiver