Aussi folle soit-elle, je l’aime cette ville.
Pour sa complexité, son intensité.
Elle me fait vibrer. Fait vibrer mon âme.
Je n’ai qu’à mettre le pied dehors
pour trouver matière à extase.
Plus ou moins grande selon le temps,
mais tant que j’en veux, toujours.
Les couleurs. À la tonne.
Les contrastes. Irrésistibles après la pluie.
Et tout ce monde à voir, personne de pareil.
Et puis ces lignes. Qui partent dans toutes les directions.
J’en deviens fébrile parfois, tellement elle m’électrise.
Cette ville.
Petit bonheur, merci.
Hé oui.
Répondre à Ma ville, encore ma ville, toujours ma ville