j’ai kické les cailloux gênants
et regardé le ciel
qui ne demande jamais
qu’à être son bon ciel
de là j’ai kické les histoires
qui forgent ma misère
et au final et pour ma gloire
ma very very gloire
j’ai calqué sur le vent
qui se mourait de rire
en soufflant bon allant
dessus ma tour d’ivoire
∼
Photo : AUTOUR D’UNE FLAQUE – Avant-hier, dans mon quartier
Si j'étais un arbre 
j’aime bien le rire du vent….
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Très sympa !!!
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Cela sent le bon cœur, madame, et la renaissance prochaine du printemps.
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..et j’ai entendu ce rire du vent jusqu’ici…je l’ai entendu qui petit à petit se mêlait au tien…alors j’ai ri aussi, ri au vent, ri à la vie, ri au plaisir de celle-ci…
que cette soirée te soit souriante, douce caroline
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Ah le vent, le vent… il est fou n’est-ce pas ? mais il rit si joliment, si légèrement, si imperturbablement, si violemment parfois. J’apprends les vents, celui du feu qui hurle comme une bête emprisonnée cherchant la liberté, le vent des arbres, le vent doux de l’oiseau qui joue du moindre rayon de soleil, le vent du temps, le vent des mots, du son, du mouvement, le vent de la mer bien sûr, le vent qui rend tout invisible, le vent si vivant…
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Oui, oui, printemps sur nos tempêtes!
🎼 »Heureus(e) d’un printemps qui m’chauffe la couenne… »
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Je crois qu’en Islande ils ont plein de mots différents pour le vent comme les Inuits l’ont pour la neige. Toi tu le chantes le vent et il te le rend bien !
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