dis-moi
j’oublie toujours
où se trouve le lit du poète
dedans ta seule église
je sais, je viens et je reviens
cherchant sous chaque branche
furtive et impatiente
autant que je le suis
mais c’est te dire combien je rêve
de me trouver nue contre lui

L’IMAGE – Février 2017, Montréal
Magnifique texte ! La poésie, jamais là où on l’attend, qui surgit du néant et nous emporte, comme l’amour nous emporte.
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Et si c’était la poésie qui nous trouvait pendant qu’on la cherche.Très beau texte !
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..et pourtant, on le sent, juste là, à fleur de tes mots…sourire
merci, pour cette si belle photo et ses mots, qui lui chantent doucement…
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Et moi je me réjouis et te remercie de pouvoir te regarder rêver.
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C’est parfois tellement dérisoire d’appuyer sur ‘j’aime’ alors qu’on voudrait appuyer encore et encore…
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vous le trouverez entre les couvertures… de ses pages, peut-être… dans une cathédrale de vers ( oups, je me laisse aller )… mais, faut pas être frileuse…
j’ai trouvé un exemplaire usagé d’un gauvreau sur mont-royal plus tôt cette semaine… et je suis retourné dans le temps
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