sans amours ni rivières
pour y baigner mon âme
que trouverais-je à faire
de mon désir fou
par cette ombre qu’il porte
et ces vents qui se croisent
toutes les berges données
d’où rêver le mystère
sans lui, je sais
les matins seraient pâles
et les absences vides
et as-tu vu combien
près des courants innés
je suis plus vivante et plus vive

BLEU D’INTEMPÉRIE – Octobre 2017 * Lac Kénogami
Jolie photo de l’heure bleue
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Très exactement, Caroline. Je garde celui-là qui exprime à la perfection la libido, au sens premier, pré-Freud. Merci Caroline.
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Fine shot, with the twigs in the front.
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le désir inspiré rend *vivant*, ô combien!
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que j’aime ce texte,
sa belle folie du vivre,
que j’aime cette image,
jeu de doré et de bleus..
merci douce caroline,
ils caressent mon après-midi..sourire
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