frôler le vide
doucement
sans s’en faire
des pieds qui se délient au matin
un arbre penché sous la pluie
deux et tant d’autres à être
pour quelque chose à voir
quelque chose à se vivre
semer s’aimer
il fait si bon
se bercer ainsi sous le ciel
J’Y AI VU TOUTE LA TENDRESSE DU MONDE
Quelque part sur deux jours, en mars 2006
Si j'étais un arbre 
Tes mots sentent tellement fort la douceur ! C’est beau !
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mmm… merci…
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Beau texte mon amie. Bise JP
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Merci JP. Je t’embrasse aussi.
À bientôt, j’espère.
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de la tendresse au coeur. Merci Caroline
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merci Dominique… et bonne journée…
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L’émotion … en équilibre…
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Mmmm… merci… et une belle fin de journée à toi, Odile…
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Beau week-end Caroline…
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