y a qu’à voir ce que le noir apporte, me disait-elle
et la couleur éclate
les plantes ont reçu dans la nuit
ce qu’il leur fallait de pluie
la terre est gorgée d’eau
le ciel s’est éclairci
et nos tendres façades, et ce coeur
qui de mille manières se cache des autres coeurs
si pareils pourtant
Photo : ONZE SOEURS ET LEURS PARENTS – Env. 1933 * Montréal
(ma mère est la petite qui tient les mains d’une plus grande)
C’est vrai que le temps fuit..
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Gorgeous words that sprinkled down from the sky into my morning with their nourishment. Reminding my heart of itself, of yours, and yes the hearts of others, thank you.
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11 sisters… just imagine.
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Moi qui suis issue de deux petites familles 😳 : cela me laisse sans voix. Et ton texte, comme toujours, sait me toucher. Une « habitude » dont je ne me lasse pas.
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onze sœurs…….11……magique
elle est extra et plus qu’ordinaire, ta lignée, caroline
des brassées de bisous……..en macarons
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Et au sommet de la pyramide l’homme ;o)
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et elle, là,
tout en tendresse,
lovée dans les bras de l’aînée,
et elle, la seule tête penchée..
ce quatuor de mains est si beau..sourire
tant de ressemblance,
tendre toi..
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Très touchant, Caroline.
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