les aboiements du paysage
et nos tendresses, comme des intersections
harnachée d’ombre et de soleil, d’amours
vifs et de terres ardentes, aux flots qui
débordent déjà, elle swigne des radeaux
de papier
et le sien flotte sur une mare de pluie
Photo – LA PUDEUR DE L’INSTANT * Vue d’hier * Montréal 2019
Flotter, flotter, comme un petit bouchon, libre au vent, libre à l’eau et libre à soi.
Douceur et sourire, chère Caroline.
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Très beau texte. Merci !
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..pudeur d’une marée,
Marée d ‘eau douce
Ou d’eau salée,
Marée de tendresse
D’un bout à l’autre
Du bleu de l’océan..
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