C’est plus simple qu’on ne le croit, me disait mon père.
Ma mère, plus tranquille déjà, ne m’en disait trop rien.
j’ai grimpé
pour toucher le limpide
mon corps, ma tête
entre les arbres nus
au plus proche du vent
dans l’hiver électrique
qui s’achève peut-être
j’ai grimpé
pour y avaler l’air
froid et fluide
que ferais-je déjà
sans le ciel et le vent
Photo – DESSUS LA MONTAGNE – 22 février 2020 * Montréal
ici jonquilles et primevères font oublier l’hiver des arbres…….bises douces
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et comme il faut d’amour pour toucher le limpide….
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L’hiver, ici, est inconstant et s’est réfugié haut dans la montagne. Le vent, lui, persiste à souffler dans notre culture.
Douceur et sourire et bise ardennaise, Caroline.
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Pour y entendre encore,
Le murmure de ceux
Que l’on a tant aimés,
Ce murmure, qui, là,
Tapi dans notre coeur,
Accompagne la douce-errance…
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