et l’arbre se tient béant
devant tant d’yeux
sur le vide
et tant de vide
à vendre
d’autant béant
qu’autour de lui,
la blanche tombe cristalline
comme une grande
chanson d’amour
des milliards de
diamants cosmiques
projetés
d’une bouche céleste
sur un monde
gorgé
mais que
sais-je, se dit-il,
de l’instable
peut-être, dans
sa parfaite élégance, sa
courbure patiente
·
Photo – ET TOUS NOS AMOURS DÉGLINGUÉS – Novembre 2020 – Montréal
Il faut naître en pays de neige et en avoir vu tomber pour entendre une grande chanson d’amour rythmer sa chute tout en danse.
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Une balance des blancs est bienvenue qui corrigera la dominante sombre et rouge de l’éclairage ambiant et redonnera ses vraies couleurs à ce monde qui divague.
Bise et douceur, Caroline.
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l’arbre est ébahi de la pensée de l’arbre qu’en soi on se fait…
C’est beau.
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