De mon âme en terre urbaine De ce plaisir que j’ai à passer par les quartiers morts qui ne revivront qu’au matin. De ce besoin qui va de soi de m’éloigner de la multitude. Dimanche soir, dans un coin industriel de Rosemont PartageE-mailTwitterFacebookPinterest Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Répondre à De mon âme en terre urbaine Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Google. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles.
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