C’est elle qui me tient. Qui me garde debout.
Elle qui aménage, à sa manière, mon espace intérieur.
Quand j’avance, l’espoir reprend sa place.
Et ma vie, de son sens.
Mon corps reconnaît ce mouvement vers l’avant.
Et mon âme s’y retrouve et s’en repose.
J’aime marcher.
Errer aussi.
Rues ou montagne.
C’est un des luxes que je me paie.
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