je le dis comme la mer
qui s’éloigne et s’approche
comme le ventre qui s’ouvre
et cet ébranlement
on se verra là-bas
peut-être, me dis-tu
vivante sans te savoir
quand même je te rêve
et ma mémoire ne cherche
ni plus loin ni plus près que la mort
pas plus que les feuilles n’y pensent
avant que de danser
Photo : UNE LARME DE TEMPS – Sur la 40 * Juin 2019
Très beau
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oh quelle photo! et des mots ô combien précieux! bises, jolie douce
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Merci, c’est vraiment un beau texte
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« Save the last dance for me » écrivait Doc Pomus dans son fauteuil roulant avant de le passer aux Drifters. Quitte à être emporté, autant que la dernière dance soit douce et sereine.
Touché, Caroline.
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Tes mots, si justes,
Si tendres, en même temps,
Cette photo troublante,
Et cette phrase qui me touche tant..
Dansons,
Comme les feuilles,
Par-dessus la grande bleue,
Oui, dansons..
Doux reveil. Belle amie,
Et tant de douceurs vers toi..
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Wonderful!
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