Je me méfie des certitudes.
Ce qu’elles savent souvent faire de mieux, c’est rétrécir le monde.
Il y avait ton flanc. Et mon coeur.
On se remet des choses. Oeuvre l’oubli.
Les saisons passent.
J’ai ouvert mes yeux mécaniques
devant le poids de certaines heures.
Le corps rejette et prend.
Il fait tout à la fois.
Bien sûr, le vacarme des ondes.
Toutes ces histoires qui saignent le jour
et les douces moiteurs matinales.
Autant de pieux détournements
greffés de censure rampante. Surtout
ne pas être imputé de trop d’insouciance.
Et toujours le poème. En violon.
Comme un havre. Une liberté tenue.
Sans désastre veineux. Juste des horizons.
Photo – LES MOTS À L’AUTRE – 13 Mars 2020 – Montréal
« toujours le poème, en violon »
merci Caroline pour tes mots.
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Oser encore et encore,
Rire et sourire..
Y voir la fleur qui s’ouvre au printemps,
Ou la mésange qui cherche un abri
Pour ses futurs œufs,
Y voir le ciel,
Qu’il soit gris ou bleu,
Et oui, y sourire d’y être..
Te penser, douce toi
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« Je me méfie des certitudes.
Ce qu’elles savent souvent faire de mieux, c’est rétrécir le monde. »
oh que oui! je t’embrasse, tendre caroline
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Profondeur et beauté.
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La liberté au violon, belle pirouette, et de laisser sa certitude à l’archer avant de prendre la poudre d’escampette.
Douceur et sourire, chère Caroline.
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