alors on changera l’histoire
celle des papillons de nuit
difficile de dire sans dire
c’est ce que je voulais faire
du bout de l’âme
sans faire de bruit
d’entre toutes les heures
le matin des oiseaux
immenses les villes
et vos bidules
permettez-moi l’envers
et les becs sans médailles
asseyons-nous devant
mon abstrait et le vôtre
nos atomes vivants
et le ballet séant
et pourtant d’attendre l’instant
c’est fou comme le temps est là
le vent qui traque fort
les craques de nos baraques
et le grand quiproquo
des amours du dehors
et devant moi le ciel
qui s’attache mes yeux ou pas
mais sans lui rien qui ne nous croit
ni même le grand ciel d’aimer
Photo – OBSERVATEUR * Avril 2020 – Montréal
Si j'étais un arbre 
Un étourneau veillait. Une dizaine de milliers dansaient en nuée sans que chorégraphe il y ait.
Bise et douceur et sourire, chère Caroline.
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C’est trop beau ! (non, je ne fais pas trop d’effort 🙂 😉 )
chaque mot est plein d’images et de sensations
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°} un grand ciel
Comme un bel océan {°
🌬💨🌊. amical mirliton
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« La poésie sauvera le monde »… Merci
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Que c’est beau, ma belle amie,
Que c’est beau..
Couchée sous le bleu du ciel,
Avec juste les fleurs de lilas,
Pour me rappeler,
Avec le bleu,
Pour te penser..
Merci,
Merci et tendre journée..
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Ahhhhh, le souffle qui donne envie de prendre une très grande bouffée d’air bleu
merci ;o)
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