Je l’ai vu pousser l’herbe et le chemin d’allant.
C’était beau dès le départ. Avec son coeur qui dépassait.
On s’irradie dans le jour blanc. Pendant ce temps,
le violon joue. Et ce matin encore, je me suis laissée prendre.
Des petits coups et des grands pas. Jusqu’à entendre
ce qui n’est pas la guerre. Toutes les cellules qui se balancent
sur le navire de l’aube. Toujours le même, mais jamais.
Et c’était l’heure d’aller nulle part.
Photo – SUR UN PALIER DE VILLE * Juillet 2020 – Montréal
L’homme de nulle part (Nowhere man, Beatles)
He’s a real nowhere man
Sitting in his nowhere land
Making all his nowhere plans for nobody
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Transparent jusqu’au palier. Au delà, les lignes s’entremêlent bruyamment.
Bise et douceur, Caroline.
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La seule heure qui vaille…
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oh que j’aime cette photo!!! génial!!!
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J’aime vraiment ce poème et j’apprécie beaucoup l’atmosphère de tes photos, elles ont cette aura de mystère et de rêve qui les rend fascinantes…
Merci, Caroline.
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» On s’irradie dans le jour blanc « . Merci…
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J’adore l’heure d’aller nulle part… aller nulle part… à la découverte du monde qui se défile et se recompose, au rythme de l’indéfini
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J’adore : le violon, la photo. Tout.
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