Comment faire autrement, je sais,
que d’y vouloir l’espace, le ciel,
grand ouvert devant soi.
Une autre journée sur le sable,
à cap et corps perdus, te souviens-tu?
Plus fort les violons, je te dis. Et la mer.
Que rien ne se dérobe, tiré par la marée de nous.
On danse encore avec le temps. Et le vent.
Et depuis le bout de l’aube, le ciel n’a pas changé.
Photo – UNE AUTRE IMAGE DU PARADIS * Août 2020 – Ripon
Et la mer arrive par pans entier
papier peint arraché de l’âme….
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Ta poésie, beauté essentielle…
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Attirance et résonance.
Bise et douceur, Caroline.
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Parfois l’envie de vivre sur un fil… Merci !
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Love the shot!
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Je regarde encore une fois cette photo,
Si belle,
Je relis encore une fois tes mots,
Si touchants,
Je t’y écoute, ma tendre amie,
Je t’y écoute…
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Beauté, qui fait du bien, nourrit. Merci
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