moi qui t’avais pris pour le vent
tu me tends un miroir
comme un reproche
par chance la voix de Cécile
n’oublie pas que personne
n’ira au paradis
la lampe est restée allumée
qui éclaire le jardin
j’ai changé l’eau
boueuse
et remis les pierres dedans
c’est la femme rouge-gorge, dis-tu
son regard écarlate
il y a mille manières
de consoler le temps
Photo – CHEVAL NOIR * Octobre 2020 – Ripon
Alors je vais aimer deux fois, deux fois plus. Il n’y a pas de bouton pour ça.
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Et juste le jour où je viens te lire, voilà mon prénom qui surgit au sein de la beauté coutumière de tes textes. Et j’ai souri, même si je suis loin d’être la seule à le porter. C’était si joli.
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je suis sans voix…
Merci.
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Je crois qu’il vient de rentrer dans mon top de préférés
« Il y a mille manières de consoler le temps » cette phrase me raisonne de partout
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Les autres peuvent s’absenter, vous veillez sur la flamme. Merci
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