d’en haut, d’en bas, et le vent qui s’en mêle
tout ça et nos petits enfers
en attendant, la neige est à peine venue
que déjà elle s’en va
et puis la poésie, infiniment parlant
et mon désir d’y être nue – comme au jour où j’ai vu l’aube
pensant qu’il s’agissait de moi
on se déchire sans trop rien mesurer –
petits enfers et grands bidons
quand pourtant, c’est l’amour d’avance
·
Photo : COULÉE D’ARGILE – Ruelle de mon quartier * Décembre 2020
La poésie a ceci pour elle qu’elle met au monde sans expliquer.
Bise et douceur et sourire, Caroline.
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Great image!
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Oui, l’aube était là, pour toi,
Belle dans sa tasse guirlandée de bleu,
L’aube était là,
Emplie de tes mots,
Ces mots qui me touchent tant…
Mots de neige, mots de nos doutes aussi..
Mots de la belle errance..
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Magnifique…
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Avec ces mots qui nous montrent au fur et à mesure qu’ils nous désappartiennent. Merci
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C’est l’amour d’avance comme d’avance la neige
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